Les changements climatiques sont à nos portes. L’augmentation des feux de forêts, des sécheresses, des inondations et de toutes autres catastrophes climatiques menace le vivant, incluant l’humain lui-même. Une lutte sociale s’impose, une lutte regroupant non seulement celle qu’on se doit de mener face aux changements climatiques, mais également celle qui, plus globalement, inclut les inégalités ancrées dans le système dans lequel nous vivons.
Le nouveau rapport du GIEC, alarmant, somme les décideurs mondiaux d’agir. Nous nous devons, toustes ensemble, de crier haut et fort notre insatisfaction face à l’inaction climatique et sociale des gouvernements et des entreprises.
Nous demandons aux gouvernements de reconnaître l’urgence climatique ainsi que la dette climatique historique dont ils sont responsables, puis d’agir en conséquence. Ces derniers ont le devoir d’écouter la science, le savoir traditionnel autochtone et d’initier les réparations envers MAPA (Most affected people and areas), qui subissent les effets des changements climatiques de façon beaucoup plus brutale.
Nous disons NON à des projets tels que le 3e lien et la ZILE (Zone d’innovation Littoral Est), nous appuyons l’idée d’un financement massif au transport en commun et nous nous rallions vers un futur de justice climatique. Une invitation de La Planète s’invite à l’Université Laval, la Coalition étudiante pour un virage environnemental et social (CEVES) et Pourlefuturqc.
*Les participants de la manifestation doivent porter un couvre-visage durant la manifestation