« Le concept d’anthropocène a pour moi ceci de fascinant qu’il semble englober toutes les formes de théories catastrophistes, de l’eschatologie à la tempête parfaite. L’anthropocène se permet de plus d’emprunter à l’esthétique du sublime en créant un imaginaire de la fin des temps. Mais il ne s’agit pas de spiritualité, ni de poésie mais bien de géologie ! Et pourtant. Une bonne couche de gaz, de plastique et de ciment s’accumule à la surface de la Terre. Nous le savons. Nous nous amusons. » Martin Bureau